• ♥ Un pas de danse ♥

     

    ♥ Un pas de danse ♥ 

    «  la danse, n’est –elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble,

    dépouillée d’un but utilitaire, et libre comme un jeu d’enfant ? »

    Anne Hébert 

    «  Dans la conversation ainsi que dans la danse,

    chacun est le miroir de l’autre »

    Alain ? 


    13 commentaires
  • ♥Tendre pensée ♥ 

    ♥ Tendre pensée  ♥ 

    « Permets à mon sourire de t’offrir ma tendresse, permet à ma main

    De t’apporter du doux, permet à mon regard de te dire ton importance

    et accepter ainsi ma gratitude au cadeau de ta présence. Je t’appelle tendresse » 

    Jacques Salomé


    16 commentaires
  • ♥ Love ♥

    ♥ Love ♥  

    Sur la route de leur vie

    dans un printemps fleuri,

    leurs chemins se sont croisés,

    Ensemble, ils ont continué

     Dans cette allée

    Bordée de mille fleurs,

    les fleurs du bonheur

    ♥ Love ♥

    sur la route de leur vie,

    par un étrange après-midi

    ils ont copris

    que leur destin

    Passait par ce chemin

    Direction inconnue,

    Mais résolue.

    ♥ Love ♥

    Sur la route de leur vie,

    Dans l'automne rougi,

    Et dans cette longue avenue,

    au milieu du flux et du reflux,

    Ils sont allés à l'unisson

    vers la même mission.

    ♥ Love ♥

    sur la route de leur vie,  

    finis les démons et les oublis.

    Leur vie a changé.

    Le jour s'est levé.

    Et quelqu'un chuchote

    que le sourire de l'un est devenu le soleil de l'autre

    ♥ Love ♥

    Sur la route de leur vie,

    ils ont dit merci, 

    merci à l'Amour,

    merci pour toujours

     De Michèle Rolland Castella 


    19 commentaires
  • ♥ Sur la route des vacances ♥

     ♥ Sur la route des vacances ♥ 

    La complainte du chien abandonné 

    Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois,
    Depuis deux ans je purge, d'avoir trop cru en toi.
    Tous les jours je t'attends, certain que tu viendras,
    Tous les soirs je m'endors, sans que tu ne sois là.

    Pourtant je suis certain, je te reconnaîtrai,
    Viens me tendre une main, je te la lécherai.
    Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi,
    Que tu me caressais, que je dansais de joie.
     

    Que c'est il donc passé, pour que ce 16 juin,
    Heureux que tu étais, je me rappelle bien,
    Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises,
    Que tu m'aies attaché, là, devant cette église. 


     Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais,
    Que toi qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais.
    Peut-être es-tu très loin, dans un autre pays,
    Mais quand tu reviendras, moi j'aurai trop vieilli.

    Ton absence me pèse, et les jours sont si longs,
    Mon corps s'épuise, et mon cœur se morfond.
    Je n'ai plus goût à rien, et je deviens si laid,
    Que personne, jamais, ne voudra m'adopter. 
     
    Mais moi je ne veux pas, que l'on me trouve un maître,
    Je montre bien mes dents, et je prends un air traître,
    Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser,
    Pour toutes illusions, enfin leur enlever. 

     

    Car c'est toi que j'attends, prêt à te pardonner,
    A te combler de joie, du mieux que je pourrai,
    Et je suis sûr, tu vois, qu'ensemble nous saurions,
    Vivre des jours heureux, en réconciliation. 
     

     

    Pour cela, je suis prêt, à faire de gros efforts,
    A rester près de toi, à veiller quand tu dors,
    Et à me contenter, même si j'ai très faim,
    D'un vulgaire petit os, et d'un morceau de pain. 
     

     

    Je n'ai jamais rien dit, lorsque tu m'as frappé,
    Sans aucune raison, quand tu étais énervé,
    Tu avais tous les droits, j'étais à ton service,
    Je t'aimais sans compter, j'acceptais tous tes vices. 
     

     

    Tu m'as mis à la chaîne, ou tu m'as enfermé,
    Tu m'as laissé des jours, sans boire et sans manger,
    J'ai dormi bien souvent, dans ma niche sans toit,
    Paralysé, raidi, tellement j'avais froid. 
     

     

    Nous franchirons en chœur, la porte qui ressemble,
    A celle d'une prison, que je ne veux plus voir,
    Et dans laquelle, hélas, j'ai broyé tant de noir. 
     

    Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien,

     

    Puis l'infirmière, et le vétérinaire plus loin,
    Ils entrent dans l'enclos, et leurs visages blêmes,
    En disent long pour nous, sur ce qu'ils nous amènent. 
     

    Je suis heureux, tu vois, car dans quelques instants,


    Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans,
    Je m'endormais sur toi, mon cher et grand ami,
    Je dormirai toujours, grâce à …l'euthanasie.

     

    Et s'il t'arrive un jour, de repenser à moi,
    Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d'émoi,
    Pour toi, j'étais " qu'un chien ", tu préférais la mer,
    Tu l'aurais su avant, j'aurai payé moins cher.
     

     

    A vous tous les humains, j'adresse une prière,
    Me tuer tout petit, aurait peiné ma mère,
    Mais il eut mieux valu, pour moi, cette manière,
    Et vous n'auriez pas eu, aujourd'hui, à le faire. 
     

    NON À L'ABANDON! 


    15 commentaires
  •  ♥ Le camélia ♥

    ♥ Le camélia ♥

    Poème sur la fleur de camélia

     

    Tu es la fleur de l’hiver

    Et tu n’as  pas peur du froid

    Ta présence rave les chaumières

    Toi jolie fleur de camélia

    Tes couleurs sont des feux d’artifice

    Qui amènent chaleur, même dans les grands froids

    Tes fleurs variantes tout l’hiver fleurissent

    Nos yeux et nos cœurs tu remplies de joie

    L’aventure d’une femme et celle d’une fleur

    C’est l’histoire de la Dame au camélia

    Comme moi qui suis amoureux de ta fleur

    A celle que j’aime je donne ce nom là

    Ton arbre de « bon thé » c’est dans son feuillage

    Au-delà de ses fleurs, nous sonne le breuvage !

    Et ce discret parfum me magne et m’enivre

    Peut importe qui je suis ! Avec toi je veux vivre

    Tu es la fleur de l’hiver et tu n’as pas peur du froid

    Ta présence ravive nos chaumière tu es la plus belle fleur je crois !

    Poème de Raymond Danard 


    20 commentaires
  •  ♥ Tendre câlin  ♥

    ♥ Tendre câlin ♥ 

    « Ton cœur, maman, est un vaste océan Où aime se blottir la tête de tes enfants.

    Ton cœur, maman, est mon jardin préféré a qui je confie tous mes secrets.

    Ton cœur, maman, contient autant d’amour et de tendresse que nous ne résistons

     jamais à tes câlins et à tes caresses.

    Ton cœur, maman, rayonne à travers ton visage épanoui chaque fois

    que tu nous voies et que tu nous souris

    de Samuel Georges 


    5 commentaires
  •  ♥ La roseraie ♥

    ♥ La roseraie ♥ 

    «  L’odeur de rose, faible, grâce au vent léger d’été qui passe, se même aux parfums qu’elle a mis. »

    Paul Verlaine 

    « Sous la rose, le silence est parfait. »

    Johann Wolfgang von Goethe


    6 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires