• ♥ Passent les ans ♥

    ♥ Passent les ans ♥

    ♥ Passent les ans ♥

    Toujours, année après, fil le temps

    Ainsi, jour après jour, sans cesse, passent les ans.

    Puis, seconde après seconde, s’égrènent les heures

    Pendant lesquelles l’on coure après le mot bonheur,

    Pendant lesquelles l’on croit avoir tout essayé

    Pour que chacun, un jour gagne l’éternité !

    Stoppons un instant le temps, prenons une pause,

    Regardons autour de nous la beauté des choses,

    Admirons la nature et ses métamorphoses,

    De notre cœur ne gardons point la porte close !

    Aussi, protégeons la nature et l’être humain

    Pour qu’il y ait pour nous de nouveaux lendemains !

    Sans aucune haine, ni affichage de couleurs…

    Marions simplement les mots : Bonheur et honneur !

    Profitons du temps qui passe

    Car d’aimer, nul ne s’en lasse !

    Aujourd’hui, bien plus qu’hier

    D’être ici-bas…soyons fiers !

    Andréa Campelli Roy


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  • ♥ Nostalgie ♥

    ♥ Nostalgie ♥

    ♥ Nostalgie ♥

     Nostalgie

    J’ai laissé, moi de moi, à l’abri des montagnes

    Un village blotti au milieu des coteaux,

    La brise du matin, les fleurs de la campagne

    Et le grand mimosa où nichent les oiseaux…

    ♥ Nostalgie ♥ 

    J’ai laissé, quelque part, souffler la tramontane

    Emportant les saisons, emportant les soupirs,

    Une petite place une allée de platanes

    Les rêves, les chagrins, et tous les souvenirs…

     ♥ Nostalgie ♥

    J’ai laissé ma maison, j’ai laissé ma jeunesse,

    Mais il m’arrive encore au profond de l’hiver

    D’entendre, comme avant, à travers l’ombre épaisse

    L’écho d’une sardane ou le chant de la mer.


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  • ♥ Nature  ♥

    ♥ Nature  ♥

    ♥ Nature  ♥

     On ne peut vaincre la nature qu’en lui obéissant.

    Francis Bacon

     ♥ Nature  ♥

    L’essentiel est d’être ce que nous fit la nature ; on n’est toujours que

    Trop ce que les hommes veulent que l’on soit.

    Jean Jacques Rousseau


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  • ♥ Le Guépard  ♥

    ♥ Le Guépard ♥

    ♥ Le Guépard ♥

     La population des Guépards décline à grande vitesse, par la faute de l’espèce humaine. L'animal le plus

    rapide du monde a en effet vu sa population passer  de 100.000 il y a un siècle à 10.000 aujourd’hui.

    En cause ? Les activités humaines et notamment l’urbanisation qui perturbe L’habitat

    de ces animaux, affirme une recherche publiée aux Etats-Unis Dans la revue Science.

    Jusqu’alors le déclin de ces félins était surtout attribué aux autres prédateurs, comme les lions 

    et hyènes. L’idée étant qu’en leur dérobant régulièrement leurs trophées de chasse, ces

    Concurrents les forceraient à chasser bavardage et donc à s’épuiser dans le processus

    Cette hypothèse s’appuie sur la croyance que les guépards, l’animal le plus Rapide au

    monde, consomment beaucoup d’énergie pour poursuivre leur Proie à grande vitesse.

    Les chercheurs ont en fait découvert que ce n’était pas le cas. Selon eux, Les guépards

     s’épuisent surtout en parcourant sans courir très vite des Distances de plus en plus vastes

     pour trouver des animaux à chasser, alors Que leur habitat est morcelé par des constructions 

    et perturbé par les Activités de l’homme en général.


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  • ♥ C’était l’automne ♥

    ♥ C’était l’automne ♥

    ♥ C’était l’automne ♥

    C’ETAIT L’AUTOMNE 

    L’horizon souriait en admirant la plaine

    Tandis que tous les bois jaunissaient de leur peine

    Leur sève absorbée par un beau ciel doré

    Regardait partir les oiseaux au chant sacré

    C’était l’automne,

    Les bois gardaient le secret des retraites d’amour

    Sans en oublier les passions des baisers de toujours

    Dorénavant la fraîcheur matinale ferait frémir l’ombre

    Cachée dans tous les coins des jours devenus sombres

    Les feuilles gisant l’âme en peine, solitaires

    Gémissaient sous tous les pas sans faire de prières

    Le jour errait moins longtemps dans ses heures d’aventures

    Caché par les brouillards qui à nouveau perdurent

    Alors petit à petit, plus rien n’était vivant

    Avec les feuilles, les souvenirs s’envolaient dans le vent

    C’était l’automne. 

    ClaudeB


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  • ♥ La rose de novembre♥

    ♥ Parfum de rose ♥

    ♥ la rose de novembre ♥

     LA ROSE DE NOVEMBRE 

    La rose de novembre dans ses splendeurs infinies,

    Regarde fixement ses feuilles déjà brunies.

    L’oiseau berce son cœur de son doux chant d’amour,

    Ce chant qui fait frémir les perles de rosée du jour.

    De vagues papillons se posent sur les feuilles palpitantes,

    Des géraniums voisins aux branches odorantes.

    Tout le balcon chuchote et jalouse les roses,

    De leurs senteurs automnales, aux baumes à peines écloses,

    Pendant que les bégonias aux feuilles pourpres et cuivrées,

    Laissent tomber leurs fleurs sur les carreaux ainsi tachés,

    Becquetés par les oiseaux qui en sont rassasiés.

    Le temps suspend son vol devant ces douces visions,

    Mes ombres intérieures s’oublient de ses contemplations.

    La rose de novembre dans ses splendeurs infinies,

    Emplit mon cœur d’amour un instant au paradis.

    ClaudeB


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  • ♥ Le lac♥

    ♥ Le guépard ♥

    ♥ Le lac ♥

     LE LAC PENSANT 

    En ce jour de soleil calme et silencieux

    J'ai regardé le lac en présence des cieux

    J'ai observé les ondes dans cette immensité

    Beauté, calme et silence j'ai écouté

    J'ai entendu et vu ce que l'on voit en rêve

    Mes pensées sont tombées sur la grève

    Chacune avec une musique à la sonorité sans pareille

    Cela arrivait de partout, et charmait mes oreilles

    D'abord un bruit immense de vagues confuses

    Plus vague était le vent dans les branches touffus

    Des accords magnifiques aux suaves murmures

    Chacun son style propre mais la note très pure

    Là bas vers le fond un flux va se perdre dans l'ombre

    Sur tout cet espace se cache malgré tout une pénombre

    Qui va inonder la terre victime de sa vague immense

    Rien ne se calme, les arbres ne font pas silence

    Leurs souffles voguent dans l'air comme une harmonie

    L'ensemble créant l'effet d'une belle symphonie

    La terre et le lac s'épanchent jusqu'au ciel

    Et les chants communs deviennent universel

    J'ai médité alors, mon esprit s'est abîmé dans les flots

    C'est l'heure de rentrer, mon cœur reste sur un îlot

    ClaudeB


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