♥ L’  île ♥

« J’aime bien les îles. Il n’y a& pas moyen de fuir. Quand on est face

A un problème, on n’a pas le choix. Il faut le résoudre ou sauter

Dans l’océan. »

Patrick Weber

♥ Séduction ♥

« Ceux qui séduit et passionne les cœurs, ce sont des beautés

jamais expliquées, mystérieuses et ineffables. »

Etienne Pivert de Senancour

♥ Bonne fête des mères ♥

♥ La magie du printemps ♥

Tout s’anime, palpite et s’agite

Au cœur des bourgeons impatients

Mais dans le ciel indécis gravitent

Quelques nuages récalcitrants

Il nous tarde fort de sentir enfin

*les battements de cœur de la terre

Ses foulées rythmées sur les chemins, 

Affolant les douces primevères.

Alors jaillira de la terre un chant

Qui éclatera en un cri de victoire

Pour tous sera venu le printemps,

Il sera impossible de ne pas y croire

Poesieenhabit Sissi

♥ Joli mois de mai ♥

Joli mois de mai

Le mois de mai est un ami

L’air sent la rose, le ciel est beau

Il m’invite à la rêverie

Je m’enchante au bruit du ruisseau.

Le mois de mai est mélodie

Je sifflote avec les oiseaux

Pour son muguet au bois joli

Pour l’explosion du renouveau

Je veux chanter crescendo

« le mois de mai est un ami. » 

Poésieenhabit Sissi

♥ Tendre moment  ♥

« Un don pour nous si précieux, ce doux protecteur de l’enfance,

Ah ! c’est une faveur de cieux que Dieu donna dans sa clémence.

D’un bien pour l’homme si charmant nous avons ici le modèle :

Qui ne serait reconnaissant a la tendresse maternelle ? »

Alfred de Musset ; A ma mère

♥ Couché de soleil ♥

Le coucher du soleil romantique 

Que le soleil est beau quand tout frais il se lève

Comme une explosion nous lançant son bonjour !

Bienheureux celui-là qui peut avec amour

Saluer son coucher plus glorieux qu’un rêve !

Je me souviens ! j’ai vu tout, fleur, source, sillon,

Se pâmer sous son œil comme un cœur qui palpite…

Courons vers l’horizon, il est tard, courons vite.

Pour attraper au moins un oblique rayon !

Mais je poursuis en vain le Dieu qui se retire.

L’irrésistible Nuit établit son empire

Noire, humide, funeste et pleine de frissons ;

Une odeur de tombeau dans les ténèbres nage,

Et mon pied peureux froisse, au bord du marécage.

Des crapauds imprévus et de froids limaçons.

Charles Beaudelaire