• Variation

     

     

     

     

    Le seul fait de rêver est déjà important

     

    Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir

     

    Et l’envie de furieuse d’en réaliser quelques uns.

     

    Jacques Brel

     


    2 commentaires
  •  Dame la Lune 

     

     

     

     

    « L’amitié n’est pas un soleil,

     C’est une jolie Lune qui éclaire

     Surtout le soir de la vie. »

     Anne Barratin

     

     

     « La Lune au jour est tiède et pâle comme un joyeux convalescent ;

     Tendre, elle ouvre ses yeux d’opale

     D’où la douceur du ciel descend. »

     Victor Hugo

     


    2 commentaires

  • Deux petites notes de musique 

     

     

     

     

    Mes deux petites notes de musique,

     

    Chantent la ritournelle du temps passé.

     


    3 commentaires
  • Petit tour de calèche

     

     

     

     

    Rien n’est plus doux que ce petit tour en calèche.

     De s’en revenir par les sentiers bosselés,

     Fleuri de lavande et d’aubépine

     Passer  à l’ombre des ces arbres, où enfant

     Nous  écoutions le chant des oiseaux.

     


    2 commentaires
  • Relax

     

     


    2 commentaires
  •  

     

     

     

    Passage à Paris

     

     

     

    Soyez les poètes de votre vie.

     

    Ossez chaque jour mettre du bleu dans votre regard…

     

    …Et de l’orange à vos doigts

     

    Des rires à votre gorge et surtout, surtout,

     

    une tendresse renouvelée dans chacun de vos gestes

     

    Jacques Salomé

     


    2 commentaires
  • Coucher de soleil

     

    Que le soleil est beau quand tout frais il se lève,

     

    Comme une explosion nous lançant son bonjour !
    - Bienheureux celui-là qui peut avec amour
    Saluer son coucher plus glorieux qu'un rêve !

    Je me souviens ! J'ai vu tout, fleur, source, sillon,
    Se pâmer sous son œil comme un cœur qui palpite...
    - Courons vers l'horizon, il est tard, courons vite,
    Pour attraper au moins un oblique rayon !

    Mais je poursuis en vain le Dieu qui se retire ;
    L'irrésistible Nuit établit son empire,
    Noire, humide, funeste et pleine de frissons ;

    Une odeur de tombeau dans les ténèbres nage,
    Et mon pied peureux froisse, au bord du marécage,
    Des crapauds imprévus et de froids limaçons

     

    Charles Baudelaire

     


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique