-
♥ Je regarde tes yeux ♥
JE REGARDE TES YEUX
Je regarde l’iris de tes yeux
Sous tes blondes mèches de cheveux
J’observe ton beau sourire
mon esprit vit en délire
Je vois ta volonté
A te parer de volupté
Dégager autour de toi
L’émoi du timbre de ta voix
Mais hélas tu fermes
Oublie tes cernes
Le secret pas dévoilé
Dans ton jardin adoré
Animer des matins enchantés
Eclairer l’ambiance
Tes yeux dans mes yeux : chance
Dans ton parc bien aimé
Toi dans ta grande beauté
Je contemple tes yeux
Le blond de tes cheveux
Oh ! Merveilleux sourire
Je peux te prédire
Que l’image de toi
Qui est gravée en moi
Suscitera toujours
Le meilleur de l’amour
ClaudeB
21 commentaires -
♥ L’étang ♥
L'étang
Il existe, partout dans le monde,
Des lacs, des mers et des océans.
Près d'ici, petit joyau dans l'ombre,
Se cache un charmant petit étang.
A l'aube, les oiseaux y accordent leur lyre
Pour fêter du jour l'heureux avènemednt
Tandis que, majestueux, les pins se mirent
Dans le miroir brillant de l'étang dormant
Iris jaunes, vertes fougères et bleus lupins
veillent sur lui quand paraît l'astre de la nuit,
Formant alors le plus merveilleux des écrins
Au bel immobile qui s'est endormi.
Et quand sur lui la nuit brève
Étend sa main de velours,
Le bel étang peut-être rêve
Qu'il deviendra lac un jour.
Sissi poésieenhabit
12 commentaires -
♥ Le Dahlias ♥
Dahlia blanc: permet d'exprimer vos sentiments de séduction à la
personne aimée.
Dahlia jaune: je te suis fidèle
Dahlia orange: Permet de faire une déclaration d'amour avec excès
ou extravagance.
Dahlia rose: je ferai de mon mieux pour te rendre heureux (se)
Dahlia rouge: je t'aimerai toujours
Dahlia violet: Mon amour pour toi est durable et croit chaque jour.
Dahlia mauve: Reconnaissance.
Le dahlia est originaire des région chaude du Mexique,d'Amérique Centrale
ainsi que de la Colombie.
Les Aztèques l'appelaient Cocoxochiti (traduit approximativement en
"canne d'eau" en raison de sa tige creuse) et utilisait quotidiennement ses
feuilles, pourtant amères, et leurs tubercules pour nourrir leur animaux mais
aussi pour leurs supposézes vertus diurétiques ou antiépileptiques.
Ainsi que le décrit en 1570 Francisco Hernandez, les Aztèque le cultivent
aussi comme plante ornementale.
Il est introduit en France en 1802 par le docteur Thibaud, botaniste lui-même
en poste à l'ambassade de Madrid où son tubercule est préconisé comme féculent
(au goût d'artichaut mais plus âcre et fibreux) pouvant remplacer la pomme de
terre. Mais ses vertus alimentaires sont rapidement supplantées par ses valeurs
décoratives lorsque les doubles fleurs de dahlia sont hybridées à partir de 1806 et
que des espèces de Dahlia Cactus (issu de dahlia juarezii appelé "étoile du diable"
ou "Corne du Diable" aux fleurs aux ligules longues, effilées et contournées), sont
importés du Mexique vers la Hollande en 1872 puis en France en 1876.
Aujourd'hui offert commercialement, pour ses qualités ornementales, le dahlia compte
plus de quarante mille variétés hybrides (Dahlia x hortensis ou Dahlia x cultorum).
Les fleurs, aux formes et aux dimensions variées, sont de tous les coloris sauf bleu.
14 commentaires -
♥ Les oiseaux ♥
Les oiseaux
Orchestre du Très-Haut, bardes de ses louanges,
Ils chantent à l'été des notes de bonheur ;
Ils parcourent les airs avec des ailes d'anges
Échappés tout joyeux des jardins du Seigneur.
Tant que durent les fleurs, tant que l'épi qu'on coupe
Laisse tomber un grain sur les sillons jaunis,
Tant que le rude hiver n'a pas gelé la coupe
Où leurs pieds vont poser comme aux bords de leurs nids,
Ils remplissent le ciel de musique et de joie :
La jeune fille embaume et verdit leur prison,
L'enfant passe la main sur leur duvet de soie,
Le vieillard les nourrit au seuil de sa maison.
Mais dans les mois d'hiver, quand la neige et le givre
Ont remplacé la feuille et le fruit, où vont-ils ?
Ont-ils cessé d'aimer ? Ont-ils cessé de vivre ?
Nul ne sait le secret de leurs lointains exils.
On trouve au pied de l'arbre une plume souillée,
Comme une feuille morte où rampe un ver rongeur,
Que la brume des nuits a jaunie et mouillée,
Et qui n'a plus, hélas! ni parfum ni couleur.
On voit pendre à la branche un nid rempli d'écailles,
Dont le vent pluvieux balance un noir débris ;
Pauvre maison en deuil et vieux pan de murailles
Que les petits, hier, réjouissaient de cris.
Ô mes charmants oiseaux, vous si joyeux d'éclore !
La vie est donc un piége où le bon Dieu vous prend ?
Hélas ! c'est comme nous. Et nous chantons encore !
Que Dieu serait cruel, s'il n'était pas si grand !
Alphonse de Lamartine.
20 commentaires -
♥ Si la rose m’était conté ♥
SI LA ROSE M’ ÉTAIT CONTE
Si la rose m’était conté
Ses pétales des baisers
Au soleil de mes années
En sommeil sous les cyprès
Apothéose de ses rosés
A la source aux roses dorées
Dans mon cœur plus d’après
Les jours, les nuits étoilés
Mes lèvres toutes colorées
Des pétales couleur rosée
Se dessine dans l’éternité
Les plus doux baisers
Mon âme ainsi moirée
Milliers émois me hanter
Tous mes maux sont décimés
Au chemin de la voie lactée
Mon cœur bat d’un bonheur éclatéClaudeB
13 commentaires -
♥ Le médaillon ♥
Le médaillon
Combien de fois l'ai-je caressé entre mes doigts,
Espérant découvrir un secret, un je-ne-sais quoi,
Une histoire d'amour que celle de mon sang.
Aïeule inconnue, aurait vécue il y a bien des ans.
Je ne sais rien du sort que lui réserva le destin,
Parfois, il me semble que d'un gémissement il s'en plaint,
Alors mon âme attendrie écoute attristée,
Comme le miserere d'un médaillon oublié.
Ce soir, dans mon brouillard, j'entends chuchoter,
Il gémit encore, il a glissé dans mon corsage,
Blotti à l'abri des yeux curieux, oiseau en cage
Il revoit en filigrane la première femme qu'il a parée.
Puis, il se souvient de l'orfèvre qui l'a ciselé.
Mais la vie se moque bien d'un bijou du passé,
Les doigts familiers qui l'ont tant aimé,
L'impitoyable faucheuse les a emportés.
Sissi poésieenhabit
21 commentaires -
♥ Sonnet pour un cheval ♥
Sonnet pour un cheval
Quelque pas,
Un saut et il s’élève au firmament
Merveilleux être de lumière divine
Fils élu de cette nature sublime
Alchimie organique des quatre éléments
Cheval tu es le feu qui fait brûler le vent
Le souffle d’Air de la Beaule parfaite
Qui comme l’eau, coule au gré du temps,
Pégase de la nuit je suis Bellaphoron
Pur-sang inaccessible et Roi comme le lion
Cheval tu tiens dans ton cœur le monde
Etalon de légende, passion céleste de chine
Puissant comme Perceval,
Hercule ou bien Odin
Tu es l’Universel, tu propages le bien
Winston Perez
16 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires