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♥ La lecture ♥
« chacun peut adorer la lecture, à condition d’avoir en main le bon
roman , celui qui vous plaira, qui vous parlera, et dont on ne pourra
pas se défaire. »
David Foenkinos
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♥ Passent les ans ♥
Toujours, année après, fil le temps
Ainsi, jour après jour, sans cesse, passent les ans.
Puis, seconde après seconde, s’égrènent les heures
Pendant lesquelles l’on coure après le mot bonheur,
Pendant lesquelles l’on croit avoir tout essayé
Pour que chacun, un jour gagne l’éternité !
Stoppons un instant le temps, prenons une pause,
Regardons autour de nous la beauté des choses,
Admirons la nature et ses métamorphoses,
De notre cœur ne gardons point la porte close !
Aussi, protégeons la nature et l’être humain
Pour qu’il y ait pour nous de nouveaux lendemains !
Sans aucune haine, ni affichage de couleurs…
Marions simplement les mots : Bonheur et honneur !
Profitons du temps qui passe
Car d’aimer, nul ne s’en lasse !
Aujourd’hui, bien plus qu’hier
D’être ici-bas…soyons fiers !
Andréa Campelli Roy
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♥ Nostalgie ♥
Nostalgie
J’ai laissé, moi de moi, à l’abri des montagnes
Un village blotti au milieu des coteaux,
La brise du matin, les fleurs de la campagne
Et le grand mimosa où nichent les oiseaux…
J’ai laissé, quelque part, souffler la tramontane
Emportant les saisons, emportant les soupirs,
Une petite place une allée de platanes
Les rêves, les chagrins, et tous les souvenirs…
J’ai laissé ma maison, j’ai laissé ma jeunesse,
Mais il m’arrive encore au profond de l’hiver
D’entendre, comme avant, à travers l’ombre épaisse
L’écho d’une sardane ou le chant de la mer.
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♥ Nature ♥
On ne peut vaincre la nature qu’en lui obéissant.
Francis Bacon
L’essentiel est d’être ce que nous fit la nature ; on n’est toujours que
Trop ce que les hommes veulent que l’on soit.
Jean Jacques Rousseau
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♥ Le Guépard ♥
La population des Guépards décline à grande vitesse, par la faute de l’espèce humaine. L'animal le plus
rapide du monde a en effet vu sa population passer de 100.000 il y a un siècle à 10.000 aujourd’hui.
En cause ? Les activités humaines et notamment l’urbanisation qui perturbe L’habitat
de ces animaux, affirme une recherche publiée aux Etats-Unis Dans la revue Science.
Jusqu’alors le déclin de ces félins était surtout attribué aux autres prédateurs, comme les lions
et hyènes. L’idée étant qu’en leur dérobant régulièrement leurs trophées de chasse, ces
Concurrents les forceraient à chasser bavardage et donc à s’épuiser dans le processus
Cette hypothèse s’appuie sur la croyance que les guépards, l’animal le plus Rapide au
monde, consomment beaucoup d’énergie pour poursuivre leur Proie à grande vitesse.
Les chercheurs ont en fait découvert que ce n’était pas le cas. Selon eux, Les guépards
s’épuisent surtout en parcourant sans courir très vite des Distances de plus en plus vastes
pour trouver des animaux à chasser, alors Que leur habitat est morcelé par des constructions
et perturbé par les Activités de l’homme en général.
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♥ C’était l’automne ♥
C’ETAIT L’AUTOMNE
L’horizon souriait en admirant la plaine
Tandis que tous les bois jaunissaient de leur peine
Leur sève absorbée par un beau ciel doré
Regardait partir les oiseaux au chant sacré
C’était l’automne,
Les bois gardaient le secret des retraites d’amour
Sans en oublier les passions des baisers de toujours
Dorénavant la fraîcheur matinale ferait frémir l’ombre
Cachée dans tous les coins des jours devenus sombres
Les feuilles gisant l’âme en peine, solitaires
Gémissaient sous tous les pas sans faire de prières
Le jour errait moins longtemps dans ses heures d’aventures
Caché par les brouillards qui à nouveau perdurent
Alors petit à petit, plus rien n’était vivant
Avec les feuilles, les souvenirs s’envolaient dans le vent
C’était l’automne.
ClaudeB
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♥ La rose de novembre♥
LA ROSE DE NOVEMBRE
La rose de novembre dans ses splendeurs infinies,
Regarde fixement ses feuilles déjà brunies.
L’oiseau berce son cœur de son doux chant d’amour,
Ce chant qui fait frémir les perles de rosée du jour.
De vagues papillons se posent sur les feuilles palpitantes,
Des géraniums voisins aux branches odorantes.
Tout le balcon chuchote et jalouse les roses,
De leurs senteurs automnales, aux baumes à peines écloses,
Pendant que les bégonias aux feuilles pourpres et cuivrées,
Laissent tomber leurs fleurs sur les carreaux ainsi tachés,
Becquetés par les oiseaux qui en sont rassasiés.
Le temps suspend son vol devant ces douces visions,
Mes ombres intérieures s’oublient de ses contemplations.
La rose de novembre dans ses splendeurs infinies,
Emplit mon cœur d’amour un instant au paradis.
ClaudeB
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